Le principal souci, c'est qu'une telle machine ne s'arrête pas comme cela. Ils découvrent, comme tous ceux qui s'y sont risqués avant eux, que le marketing sectoriel, ça ne marche pas (du moins pas au long terme).
En gros, au lieu de parler à leur marché/communauté, ils ont crée des "secteurs", qui correspondent à des profils. C'est très clair sur leur page de marketing : voilà le produit pour débutant, voilà le produit pour casual, voilà le produit pour drafter, voilà le produit pour cllectionneur, voilà le produit magic autrement, voilà le produit pour les nostalgiques ...
Cela a mis en route toute une petite armée de petites mains, et ils auront du mal à les virer. EUh, à redimensionner et réorienter leur gamme sans faire de dégâts collatéraux.
EN gros, le marketing sectoriel, c'est un truc d'obèse : tu as un client qui t'achète 100A, tu espères vendre plus en lui proposant une diversité dans laquelle il doit se reconnaître : tu veux qu'il achète 100A (son addiction) + 10A+ ... ou bien 90A + 25C + 2C+ ... Bref, tu te bases sur l'idée que le client ne veut pas "downgrader" sa consommation et sera forcé par une sorte de reconnaissance communautaire à s'investir davantage.
Cela peut peut-être marcher chez les ados et dans les économies en croissance. Dommage. Mauvais timing.
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