Mais plus globalement, je rejoins toufmade sur une radicalisation de tes propos, sur les féministes, les LGBT etc, depuis quelques mois.

Ce qui est bien, c'est que ça fait pas du tout imbu de soi-même de se décrire comme ça.

Je poste pas sur MV pendant des mois, personne n'échange un mot. J'arrive pour m'exprimer sur un sujet, ça y est niarf se remet à post.. à troller, des mecs qu'on voit rarement mettre les pieds sur le oik se réveillent subitement et s'expriment. Des sujets se créent à la chaine, ça y est le Oik se réanime.
J'exagère même pas, j'observe le Oik depuis des mois, c'est mort de chez mort.

(ou à Orriz d'ailleurs).

Djembé-Man

Je passe mes semaines à m'améliorer sur tout un tas de sujets, que ce soit pour bon boulot de conseiller mais aussi pour mes passions, je me cultive énormément, sur l'histoire, l'art, je me gave de politique nationale et de géopolitique en suivant ce que disent les plus grosses pointures intellectuelles et scientifiques connues et qui font le tour de tous les plateau télé d'emission intellectuelle style C dans l'Air, je m'entoure de gens brillant,; pas forcement en phase avec moi politiquement et intellectuellement, je m'adresse tous les jours au boulot à des gens inspirants et des pointures intellectuelles.
J'ai jamais été aussi mur intellectuellement et mes opinions politiques n'ont jamais été aussi réflechies et contrebalancé

Comme je vous l'ai dit précédemment, Daniel Patrick Moynihan avait fait des études sur l'impact du très grand nombre de famille mono-parental chez les noirs américains et en avait conclu que ce phénomène était probablement la cause d'un grand nombre de troubles, principalement l'échec scolaire et la délinquance et que cela avait un impact catastrophique sur la communauté noir-américaine dans son ensemble

Donc en fait, le rapport Moynihan date de 1965 et a déclenché pas mal de chamailleries politiques et universitaires. Et ce rapport a eu un bel impact sur les politiques sociales US. Mais on est en 2022, l'étude de Moynihan est toujours d'actualité ? Est-elle pertinente ? A-t-elle fait naître un consensus en socio ? Personne n'a rien écrit à ce sujet depuis ?

Et pourquoi plutôt des hommes que des femmes ? A cause du phénomène d’identification. Les filles noires n’ont pas de problème pour trouver des modèles féminins, que ce soit dans leur famille ou à l’école. Mais faut-il rappeler que 72% des enfants noirs grandissent dans des familles monoparentales – c’est à dire sans père à la maison –, pour une moyenne américaine de 25% ?

En 2007, alors que 14,4 % des enfants blancs vivaient en dessous du seuil de pauvreté, c’était le cas de plus d’un enfant afro-américain sur trois (34,3 %).
Ce taux s’explique en partie par le plus grand nombre de familles monoparentales, dont les revenus sont inférieurs chez les Afro-Américains. US Census Bureau. Recensement 2010, tableau 5.

ce n’est pas la monoparentalité en tant que telle qui est facteur de risque pour un enfant mais le fait qu’elle est associée à davantage de précarité et concerne principalement les milieux modestes.

Les enfants de familles monoparentales manifestent statistiquement davantage de difficultés que les autres, sur le plan comportemental ou scolaire. Mais il est aujourd’hui très difficile de prouver que c’est la monoparentalité en tant que telle qui constitue un facteur de risque pour un enfant.

Tous les rapports récents, en France comme chez nos voisins, soulignent que la monoparentalité va de paire avec la précarité. La plupart du temps, ils montrent que la séparation induit une considérable perte de revenus pour les femmes qui connaissent alors de fortes difficultés économiques.

Les LREM ont 3 choix :
A Soit ils font un effort pour transformer leur programme un peu plus à gauche et récupère une partie des votes de gauche modérée style PS et quelques voix écolo
B Soit ils le droitisent pour séduire les LR
C Soit ils vont faire les putain de girouettes jusqu'à la fin du mandat ou jusqu'à dissolution de l'assemblée nationale

L'augmentation du nombre des familles monoparentales depuis 20 ans a été telle qu'aujourd'hui, au milieu des années 1990, près d'un enfant sur trois en Europe passe une partie de son enfance - avant l'âge de seize ans - avec un seul de ses parents.

Selon une enquête de l'OCDE, dans la plupart des pays, l'énorme majorité (80% et même davantage) des parents isolés sont des femmes. Les indicateurs démographiques semblent indiquer que cette tendance va se poursuivre, essentiellement en raison de l'effet combiné de l'augmentation du nombre des divorces et des séparations et de la baisse du nombre des remariages. De même, la proportion des naissances hors mariage, souvent de mères qui n'ont jamais été mariées, augmente, mais varie quelque peu suivant les pays européens.

La santé des membres des familles monoparentales peut être fragilisée par divers facteurs dominants dans ce type de structure familiale:

· la situation financière des familles monoparentales est très souvent précaire;

· l'accumulation des rôles sociaux par des parents uniques crée une tension physique et psychologique qui peut aussi se répercuter sur les enfants;
· la vie sociale et affective des membres des familles monoparentales est déséquilibrée par la douleur de la séparation, du divorce ou du veuvage.

En outre, le réseau communautaire de soutien des parents uniques se restreint souvent après la rupture du couple. le stress engendré par tous ces facteurs peut provoquer divers symptômes psychosomatiques (fatigue, insomnie, dépression, troubles du comportement), qui entraînent de fréquentes visites chez le médecin ou les services sociaux et l'utilisation régulière de médicaments. Des études ont montré que le fait d'être une mère seule avec un enfant à charge est souvent associé à une plus grande morbidité et à une utilisation plus fréquente des services médicaux par rapport aux mères qui vivent en couple.

En outre, la mauvaise santé d'un parent exerce une influence sur la santé de l'enfant. De même, la mauvaise santé d'un enfant va avoir un effet sur la santé du parent.

Structural barriers are often listed as the reason for the current trends in the African American family structure, specifically the decline in marriage rates. Imbalanced sex ratios have been cited as one of these barriers since the late nineteenth century, where Census data shows that in 1984, there were 99 black males for every 100 black females within the population.[61] 2003 census data shows there are 91 black males for every 100 females.[61]

Black male incarceration and higher mortality rates are often pointed to for these imbalanced sex ratios. Although black males make up 6% of the population, they make up 50% of those who are incarcerated.[61]

This incarceration rate for black males increased by a rate of more than four between the years of 1980 and 2003.

The incarceration rate for African American males is 3,045 out of 100,000 compared to 465 per 100,000 White American males.[61] In many areas around the country, the chance that black males will be arrested and jailed at least once in their lifetime is extremely high. For Washington, D.C., this probability is between 80 and 90%.[61]

Because black males are incarcerated at six times the rate of white males, the skewed incarceration rates harm these black males as well as their families and communities. Incarceration can affect former inmates and their future in society long after they leave prison. Those that have been incarcerated lose masculinity, as incarceration can affect a man's confirmation of his identity as a father. After being released from prison, efforts to reestablish or sustain connections and be active within the family are often unsuccessful.[66]

Incarceration can be damaging to familial ties and can have a negative effect on family relations and a man's sense of masculinity.[66] In 34 states, those who are on parole or probation are not allowed to vote, and in 12 states a felony conviction means never voting again.[67] A criminal record affects one’s ability to secure federal benefits or get a job, as one Northwestern University study found that blacks with a criminal record were the least likely to be called back for a job interview in a comparison of black and white applicants.[68]

Incarceration has been associated with a higher risk of disease, increased likelihood of smoking cigarettes, and premature death, impacting these former inmates and their ability to be normalized in society.[67] This further impacts social structure, as studies show that paternal incarceration may contribute to children’s behavioral problems and lower performance in school.[69] Also, the female partners of male inmates are more likely to suffer from depression and struggle economically.[67] These effects contribute to the barriers impacting the African American family structure.

The mortality rates for African American males are also typically higher than they are for African American females. Between 1980 and 2003, 4,744 to 27,141 more African American males died annually than African American females.[61] This higher incarceration rate and mortality rate helps to explain[original research?] the low marriage rates for many African American females who cannot find black partners.

Darmanin (je lui chie dessus depuis cet évènement, mais il ne fait qu'appliquer ce que Macron lui dit).

Les LREM ont 3 choix :
A Soit ils font un effort pour transformer leur programme un peu plus à gauche et récupère une partie des votes de gauche modérée style PS et quelques voix écolo
B Soit ils le droitisent pour séduire les LR
C Soit ils vont faire les putain de girouettes jusqu'à la fin du mandat ou jusqu'à dissolution de l'assemblée nationale