Ici, on balance "LA phrase/citation" qui vous a maerqué aujourd'hui sur MV!!!

Ce quote peut venir de n'inmporte quel forum (caché ou non, sinon, on "défavorise" ceuw qui ont "reglé leur watch".

Le principe est très simple, c'est le même que "Le dernier couche tard!", sauf que, dan's l'esprit désormais "démocratique" voulu par notre dictateur bien aimé, ben, c'est le OIK ici, donc....


Allez, je commence: (par exemple) :



Oui, je sais, ça va pas être facile...

A vous les MVayens!

Les gars c'est un dialogue de sourd là, vous ne parlez pas de la même chose. Ceci dit j'aime bien le hs total du topic, c'est dans l'adn du oik

Ce topic était de toute les manières vidé de son sens depuis un moment.

Parfait exemple de quoi ? F1 n'est pas un corps, il n'en a pas les propriétés... Et c'est certainement pas là dessus qu'on peut baser une logique pour créer une mathématique du coup c'était un hors sujet.

Je n'oppose pas spécialement maths et philo, je les distingue parce qu'il y a un domaine où je m'y connais et l'autre pas.

J'ai connu des mecs commes ça. Sciences dures, profil ingénieur qui savent bien comment fonctionnent les choses. En avancant en âge ils se posent des questions du pourquoi, et se jettent dans les questions métaphysiques comme des enfants car sur ces sujets ils en sont resté à la philo du bac mais avec une confiance en leur capacité à comprendre qui peut avoir des résultats heureux comme detestables.

J'ai dédié ma vie à la pensée. La philosophie en fait partie. Celle du bac est risible, tout comme l'enseignement du français ou de l'anglais, j'étais bien en avance sur celle-ci
Je suis passé par les maths car c'est le seul domaine où l'on peut réfléchir de manière cohérente sans se bouffer du par cœur. Pour moi les maths sont une forme d'art au même titre que la poésie ou la peinture. La philosophie n'est rien d'autre que des maths dont le formalisme est le langage. Je sais pertinemment que ma façon de penser me rend assez opaque à 99,99% de la population. C'est pour ça que je parles peu. Les humains du futur seront plus à même de comprendre mes propos.

Mais j'ai assez raconté mes élucubrations on a fait le tour de la question je pense.

Exactement comme nous sommes en phase avec Nostradamus.

Penses plutôt à Einstein, Asimov, Phillip K. Dick, Orwell, Grothendieck.

J'y connais rien en maths avancées, mais pour une fois que je reconnais un nom de matheux (dont je vous avais recommandé une lecture sur le oik)...

Je dois avouer, on cher warpad, que les prospectives que tu souhaites ici sur le monde futur (que tu as tendance à étaler des vérités établies) sont en totale contradiction avec la vision philosophique de la science comme la voyait Alexandre Grothendieck.

Elles sont au contraire en total accord. Elles en sont la continuité et l'évolution. Grothendieck a tenté de nous avertir de ce monde qui arrive, et du rôle que les mathématiques et le nucléaire ont joué dans son établissement. Mais maintenant qu'il est là; il faut s'adapter. Les valeurs sont les mêmes mais les conclusions sont nécéssairement différentes car le monde à évolué drastiquement.

Grothendieck est le seul humain que je puisse considérer comme un modèle.

Je vous conseille très fortement Cette conférence

Il a tenté certes, et je suis d'accord sur le fait que tel le kiwifou moyen (ou n'importe qu'y d'autre, hein) on essaie de faire avec le monde tel qu'il est aujourd'hui.

Mais je maintiens que tes élucubrations (à mon sens elles semblent comme) sur les solutions à apporter au monde d'aujourd'hui (avec toutes ses problématiques) sont à l'opposé de ce qu'il prônait.

A savoir moins de technique pure (genre croire qu'on s'en sortira grâce à la fusion), et plus de pratique pratiquée par chaque clampins que nous sommes..

Mais sinon, prenez le temps d'ecouter la conférence de grothendieck mise par warpad, ça vaut le coup ;)

Ma mère est une "batarde". La fille non reconnue de "la maitresse" d'un général suisse. Elle a grandit avec une réalité de prolétaire et un capital socio-culturel élevé. Elle a fait les beaux-arts, puis prof de dessin, puis a passé une agrégation d'histoire géo pour être prof et a fini directrice de maison de retraite après le concours d'attaché.

Mon père était enfant d'aristocrates iraniens (kadjar) son père était aussi général. Lui a eu une carrière d'universitaire à MIT puis Harvard. Il est enterré au Père Lachaise. Le reste de la famille est de même acabit.

Ce sont des élitistes, alcooliques, racistes, sexistes et brillants être humains. La moitié est antisémite. Je suis ravi d'arriver à enfin avoir ma propre trajectoire.

Je n'en signe pas moins mon analyse de la page précédente.

Sacré histoires de familles!

Cependant je ne vois pas la progression sociale rapide dans ces parcours de vie, ou je me trompe? Qui considères-tu comme


?

D'autres personnes dans le monde avec les mêmes injonctions oppressantes mais elles, par angoisse du déclassement

Bonjour monsieur Pad,

Veuillez me suivre.

Mais alors c'est là que j'objecte:

La peur du déclassement ne caractérise pas ceux qui se sont élevé récemment dans l'échelle sociale ou les transclasses. Les nouveaux riches (quel que soit le capital) ont confiance en leur capacité, sont plutôt optimistes et de gauche pour simplifier.
C'est ceux qui ont atteint un certain niveau depuis plusieurs générations qui ont peur de perdre. Dans les familles bourgeoises ou aristocratiques (qui ne diffère plus en France de la bourgeoisie ancienne) donc à un certain niveau social depuis longtemps, si la famille est fonctionnelle (relations fortes avec les collatéraux), le risque du déclassement est considérablement amoindri. Par une éducation poussée, ou des stratégies comme le mariage, le rejeton un moins bien doté intellectuellement pourra maintenir son rang, et même s'il débloque complètement, ses enfants seront récupérés par la famille et positionnés sur la trajectoire collective. Enfant on me disait : "Au pire, si tu te crash, tu finiras enseignant" (Qui se traduit: "Tu ne peux pas descendre plus bas qu'un certain niveau avec le capital que tu as")


Remarque: il faut étudier la trajectoire des ascendants sur 2 générations. En revanche tu n'es pas vraiment déterminé sociologiquement par ce que font tes frères et sœurs (cf la remarque de Krishek2001) sauf exception (si tu as été élevé par un frère ou une sœur).

Pas lu tout en détail, juste pour rappeler que la bourgeoisie n'est pas la même classe sociale que l'Aristocratie ou les nouveaux riches.

Ca m'interroge que tu résumes sa carrière aux États-Unis où il a fait une partie de ses études, sans mentionner le CNRS où il a fait sa carrière si je ne me trompe pas.

fais toi plaisir Gimli

C'était un mauvais père.