Citation :
Ecoute, une startup sans capitaux, ça meurt, et ça ne créé pas d'emploi.
Je suis d'accord, moi ce qui me dérange c'est qui peut devenir actionnaire. On peut reformuler aussi avec les devoir de l'actionnaire (devoir par exemple de s'impliquer réellement dans son investissement).
Citation :
la dette, sous par exemple la forme du factoring, c'est essentiel a certaines industries, telles que la construction de voiliers. Mais c'est aussi un moyen de se financer sans perdre le control de son bébé (ce qu'est l'entreprise pour son fondateur).
La dette sous une autre forme ne me dérangerais pas, c'est bien la dette façon capitaliste qui me dérange, à cause notamment du fait que les banques sont considéré comme des entreprises soumise à la rentabilité. C'est dangereux, et les faits le prouve; pour moi une banque doit faire des prêts sans taux usuraires, elle ne facture éventuellement que des frais de gestions cohérent (pas de triche pour piquer des tunes). Et puis on sait que les banques avaient des limites qu'elles ont grignoté au fur et à mesure, elle sont devenu trop gourmande, et ça a explosé.
Citation :
Et comment tu fais (vraie question que je me pose) pour une multinationale sur toute la chaîne de valeur avec plein d'usines dans le monde? Tu les incentives à la performance de leur usine? Alors pourquoi pas juste des bonus vs des actions? Tu les incentives sur un global? Mais à combien du capital? Et ca ne ralentira pas l'embauche? Si tu donnes des droits de votes aux salariés, quel intérêt ont-il a se faire diluer?
Alors j'ai pas la réponse à tout, et j'ai pas suffisamment réfléchit, donc je met juste des idées peut être naïve. Première idées, rajouter une plus value qualitative, culturel, ou que sais-je, en fonction du lieu de production. Ce qui peut se traduire par laisser les employé exprimé un peu de leur créativité (pas forcément individuellement, le pdg local et ses lieutenants sont la pour faire du brain storming, ils remontent à la maison mère, et le reste c'est du marketing pour promouvoir le "plus").
Je connaissais pas le terme incentives, après avoir vu la définition, je suis plutôt contre. En tout cas pas dans sa forme actuelle. Je pense qu'on est à une ère, ou la qualité va devenir bien plus cohérente et vitale que la quantité (vu comment on épuise les ressources). Cette qualité, ça vient de la subtilité de la production, en fonction des méthodes de production. Si on prend un truc tout bête comme le pain, on sais que le fait maison, avec quelques touches d'originalité (graine, farine rare, cuisson au feu de bois) vont faire une différence significative qui justifie un prix plus élevé et donc une meilleur rentabilité pour le boulanger, tout en étant incitative à la consommation (originalité, découverte). Encore une fois c'est peut être naif, mais un concept à la google, des locaux zen, des kiné, des coach sportif, pour faire faire des exercices d'échauffement, détendre l'employé, et ainsi rendre les gens plus productif et créatif, sans violence, me semble une méthode qu'on devrait étendre (car elle existe déjà, mais uniquement dans les domaines purement créatif, comme chez google, ou blizzard).
Je pense qu'il faut faire aimer le travail aux gens, et associé lieu de travail à un endroit de plaisir plutôt que de souffrance, faut pas croire que les humains sont tous ingrats, y en a beaucoup qui ont la culture de la reconnaissance et puis la dette sa fonctionne très bien, là c'est une forme de dette, on ta mis bien, à toi de mettre ta société bien.
Citation :
Pour le contexte, j'ai tout fait ce que tu décris de mal (au niveau junior, donc en y sacrifiant ma vie sociale et ma santé):
- Aidé des startups à lever des capitaux
- Aidé des entrepreneurs a vendre leur boite a des grands groupes / fonds d'investissement
- Aidé des entreprises à lever de la dette
- Aidé des grands groupes à liquider des usines
- Aidé des dirigeants de grands groupes à se remettre en phase avec leur actionnaires institutionnels "passifs et anonymes"
Je sais pas si tu as vu la vidéo que j'ai linké un peu avant, c'est un journaliste qui a fait une investigation sur ce qu'il nomme "boulot de merde". Attention, y a pas de jugement sur la personne. D'ailleurs le gars dit un truc très vrai, qui m'a fait penser à ta situation. Les gens peuvent être très bon dans leur métier, se donner à fond, être performant, mais ça n'empêche pas le fait que les métiers qu'ils font sont plus "destructeur" que "producteur". Lui il compare des infirmière à des publicitaires. Pourtant les publicitaires qui sont d'après lui plus destructeur vont générer plus de valeur, et les infirmière qui produise un service sociale très productif sont de moins en moins bien payé.
Alors destructeur c'est dans tout les sens, pas juste dans le but du job (genre une usine de confection de jeans qui va polluer des rivières avec des teintures, et en asséché d'autre pour la culture du coton). Destructeur aussi pour ceux qui produisent. Dans ton cas tu dis bien que ça ta couté ta santé et ta vie sociale. Pour moi c'est inacceptable. Et encore plus si derrière la finalité va causé de la misère sociale, pour le profit de quelques uns.
Donc les boulots de merdes ça concerne autant les infirmières qui ont des conditions de plus en plus merdique, que les publicitaires qui cause des conditions merdiques à cause de la valeur virtuelle qu'ils produisent alors qu'en réalité ils consommes du temps, des ressources, l'attention des gens (qui pourrait faire autre chose de plus utile), tout ça pour inciter à consommer, donc à "détruire".
Et là j'en viens au dernier paragraphe.
C'est pas un complot, c'est juste le mode de fonctionnement de la consommation. Pour que le modèle de la consommation soit viable, il faut bien instaurer une dynamique de consommation régulière, avec une récurence programmé c'est encore mieux pour optimiser la production. L'exemple le plus con c'est les fêtes, comme noel, maintenant halloween qui n'existait pas en Europe, etc. Les plus subtile c'est l'obsolescence programmé, provoqué, ou que sais je. Cette subtilité concerne les produits non périssable, qui théoriquement peuvent avoir des durée de vie très très longue (plus long qu'une vie humaine pour certain, et une bonne partie d'une vie humaine pour d'autre). On le sait, par exemple les voitures anciennes, pas mal d'entre elle on dépasser le million de kilomètre au compteur (certes y a eu de l'entretien efficace). le cas des ampoules, c'est un classique, avec la fameuse ampoule qui aurait 1 siècle. Les machines à lavé, qui ne sont même plus réparable à cause d'élément moulé à même le tambour, comme ça on doit racheter une machine. Tout ça c'est ultra destructeur, ça défonce la planète, au nom de la consommation.
Et pour la partie sur le fait que les gens qui se nourrissent de ce système son prêt à tout pour le défendre, il faut juste s'intéresser aux plus grand capitaliste de notre ère, les américains, le nombre de base militaire qu'ils ont, le nombre de conflit militaire dans les quels ils se sont impliqué, l'idéologie qu'ils essayent de mettre en place partout dans le monde, et leur plus grand ennemis idéologique, la Russie, avec qui ils ont été en guerre froide, et là il font des guerres par ennemis interposé. Donc là je vois pas trop ou est le complot, tout ça est factuel, c'est peut être les sous entendu idéologique que je laisserais planer? Genre que tout ça est calculer par une élite américaine? Ou une élite apatride qui a la main mise sur le pouvoir occidental, et particulièrement américain.
Tu as vu dernièrement les réactions autour du candidat JF Poisson qui a évoqué la proximité entre le lobby juif et Hillary Clinton? Le mec direct black listed. Bon là il s'avère que c'était "juif" le problème, mais pour moi c'est "lobby" le problème, peu importe l'identité du lobby que ça changerais rien au problème. Si tu pointes ce qui d'après toi est un problème, et que derrière tu fais systématiquement ostraciser, de quelle coté est le délire complotiste? Limite ça les arrange de laisser planer cet atmosphère de complot pour mieux jeter l'anathème. Et je parle des lobby, pas des juifs. Car eux ça les arranges de pas être sous les projecteurs.
Le problème en France c'est que c'est complètement anti-républicain, alors qu'on nous bassine la tête avec la France est une république, blablabla. Une république, laïque, qui fait la promotion de la liberté d'expression, et qui va direct te sanctionner si tu parle d'un tabou...
Confusion, contradiction, malhonnêteté, bref, de la merde.