Il était une fois une gentille petite princesse. Lucrezia. Elle était très belle, avec sa chevelure donnant un aspect magique à sa personne. Son sourire laissait sans voix les passants qui le contemplaient. Elle vivait dans le grand chateau de la mythique cité d'airain. C'était la plus belle, la plus douce, la plus perspicace, la plus intelligente du royaume et des royaumes voisins. Tout le monde la connaissait, et elle connaissait tout le monde. Sa mère, la reine Barl, était une sorcière très puissante, certes, mais un peu folle. Elle était très jalouse de la beauté miraculeuse de sa fille car elle même était assez vilaine. Son visage terni par les rides lui donnait une expression grimaçante. Une immense vérue, de la taille d'une noisette, ornait son horrible nez pointu et la faisait loucher.

Un jour, la sorcière demanda à sa fille pourquoi une telle beauté lui avait été donnée, et pas à elle. Comme à son habitude, Lucrezia l'envoya aller ramasser les champignons ailleurs que dans ses apartements, car elle en avait marre de répondre qu'elle n'en savait rien, et que c'était un coup du destin. La reine le pris assez mal. Elle devint d'abord toute rouge, puis ses yeux commencèrent à lancer des éclairs. Elle lui jeta un sort de paralysie, l'accrocha sous la charue pour que personne ne la voie, et l'emmena loin vers le sud, dans son repère. Elle y élevait un dragon noir comme l'ébène, aux yeux rouges scintillants injectés de sang, tout aussi maléfique et perfide que sa maitresse.

Le père (le roi, Seigneur de Tresserhorn), ayant apris la disparition de sa fille, convoqua son héros le plus dévoué, un jeune chevalier très charmant, musclé, au regard envoûtant. Celui-ci partit aussitôt à la recherche de la princesse. Il chercha des traces quelconques qu'aurait laissé la sorcière dans sa fuite. Il ne tarda pas à les trouver : deux grosses traces de roues immences. Suivant de près les traces de la charue, il arriva à l'antre du repère de la sorcière...

Il y avait des rats de partout, et notre héros eut du mal à s'en débarrasser car ils étaient rapides, coriaces, bref implacable, quoi... Ces petits rats couraient de partout, lui montaient dessus par ses chevilles.

Une fois qu'il en eut terminé (il préféra les contourner), il dégaina son épée flamboyante et se jetta sur le dragon. Le preux chevalier cria alors sa légendaire devise :"Tue ! Détruit !" et le dragon mourru sur le choc de l'incantation. Il faut dire, c'était sa Technique super secrète ! Il jeta son épée (car elle ne lui servait à rien, en fait) et s'avança vers ce qui lui sembla être l'habitation de Barl, la reine sorcière.

Celle-ci avait ligoté Lucrezia, lui avait filé 50g de cocaïne (genre, pour qu'elle ne bouge carrément plus) et l'avait enfermée dans sa cage magique, la cage de Barl. Elle était en train de préparer un potion magique (à base d'albâtre et d'ADN de la princesse. Et oui, ils étaient déjà très évolués à cette époque) qui lui permettrait de "prendre" la beauté inimaginable de la princesse et ainsi se la greffer pour elle seule. Elle allait précéder à la cérémonie, quand tout à coup le chevalier entra en criant de nouveau :"Tuer ! Détruire !". Ce dernier aggripa la sorcière par la tignasse et la frappa de son puissant poing. Assitôt, la sorcière se cru téléportée au paradis et vit des petit oiseaux tourner au dessus d'elle.

Le prince victorieux délivra alors la princesse, et profita de son état (un peu shootée, encore...) pour lui faire des trucs un peu... Mmmmm... XXL !!! Quand il eu terminé (2 jours plus tard, la princesse était très belle, ne l'oublions pas !) il la ramena au chateau et se fit Felliciter par le roi, qui lui offrit la main de sa fille. Ainsi, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...

lol ya des gens ki trippent!
joli conte

:)

Hum... oui mais je lui mets juste 6 pas plus.
Ca ne tient pas la comparaison avec des trucs comme "Have a chance" : ça c'est un vrai deck fun de compet' !
Je ne sens pas une profonde recherches derrière les cartes du deck.