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MTGA
Synergie
1 en main
1 sur le champ de bataille
Cette combo est un clone de
Combo proposée le 11/05/2005, commentaire de pjlepro :

avec l'incitation a la guerre l'adversaire attaque avec toutes ses creatures (pas besoin de l'union) la pluie met une blessure a toute les creatures attaquantes c'est a dire en principe toutes celles de l'adversaire (sauf mal d'invoc)et la mort fosses detruit toutes les creatures blessées c'est a dire toutes les creatures attaquantes (donc l'adversaire n'a plus de betes apres)

ca marche aussi avec Fumiko la manante a la place d'incitation mais c'est plus lourd vu que c'est 2RR a jouer dans 1 combo 3 couleurs

NdZeSword: Forcer l'adversaire à attaquer est effectivement un ajout sympathique de ce qui existe déjà avec Caltrops, cf. Caltrops + Death Pits of Rath.

haut de page - Discussion : page 1

kerity
Made in Belgium

Légende
le 20/05/2005 10:56
-3 cartes
-3 couleurs
-toutes les cartes sont mauvais séparément
-la combo ne fais que tué les creatures de l'autre.Et s'il en a pas?ou meme moins de 3 tu fais du CD

bof bof
ragnarork63
le 22/05/2005 1:32
tellement peu rentable...
anonyme
le 22/05/2005 23:47
Kerity a entièrement raison, et en plus c'est cher.

Interet d'une telle validation ?????
ragnarork63
le 23/05/2005 12:11
oui oui en fait elle est naz
zegratman
Bordeaux, France
le 24/05/2005 16:43
tout a été dit
anonyme
le 27/05/2005 18:07
À l’ère de la performance, l’endurance compte autant que la compétence. Mais Superman est usé: les problèmes de santé mentale sont devenus LA CAUSE d’absence au travail.

Quand il nous a rappelé, Claude Lemay, d’Alis Technologie, fêtait Noël près de Chicago. Où qu’il soit dans le monde, le président de la PME de Ville Saint-Laurent répond à ses messages comme on va au dépanneur du coin. C’est qu’à 45 ans, l’homme est, disons-le, occupé : au bureau vers 5 heures du matin, il travaille 90 heures par semaine puis s’évade deux jours dans les Laurentides aux commandes de son avion bi-moteur avec sa femme (ils se sont rencontrés en voyage d’affaires), son fils de 11 ans et quelques «lectures». Du moins, quand il le peut: en 1994, il a été 24 fois en Europe, quelques fois au Japon, il a fait quelques sauts aux États-Unis, siégé à neuf conseils d’administration différents, et on en passe...

Épuisé ? Vous n’y êtes pas : 5 heures de sommeil et voilà cet ancien champion de natation sur pied. Un atout qui lui offre, chaque semaine, 21 heures d’éveil de plus que la majorité. Insensible au décalage horaire, il peut discuter affaires après une bonne douche, là où d’autres ont besoin d‘une nuit de sommeil pour récupérer. Pour garder la forme, il fait quelques longueurs de piscine, s’adonne à la gastronomie et boit tous les jours un verre de vin rouge «pour la santé» ! Et depuis trois ans, il s’offre, chaque année, quatre voyages d’une semaine, en amoureux avec son épouse ou en famille.

Après 5 heures de sommeil, Normand Tremblay, vice-président, ventes interurbains, chez Bell Canada, est lui aussi sur pied. À six heures du matin, il est au bureau. «Ça me donne 12 à 15 heures par semaine sans réunion et sans téléphone», dit ce quadragénaire qui travaille d’arrache-pied mais se fait un point d’honneur de respecter le pacte matrimonial : rentrer avant 18 heures et consacrer les fins de semaine à sa famille de quatre enfants.

Claude Lemay et Normand Tremblay suivent sans trop de mal le rythme d’enfer de la nouvelle économie. Une bonne endurance, une discipline de fer pour gérer leur agenda, la passion de leur métier, le goût d’apprendre, ont fait d’eux ce qu’on voudrait que nous devenions tous: des performants.

Tout indique que ceux qui ont un emploi travaillent plus qu’avant. En 1994, selon Statistique Canada, les 10 millions de travailleurs canadiens ont travaillé, en moyenne, une heure de plus par semaine qu’en 1991. Un calcul qui ne tient compte que des heures déclarées! Dans un sondage auprès de ses lecteurs, le magazine Affaires Plus concluait en mars 1993 que près d’une personne sur deux travaillait plus qu’en 1990: 12% faisaient plus de 60 heures par semaine; 44,4% plus de 45 heures. «Il n’y a pas de doute: l’avenir n’a rien d’une balade au parc !» confirme Alain Forget, premier directeur chez Price Waterhouse, spécialiste de la gestion du changement.

La famille d’abord:
«Pour réussir, il faut aimer ce qu’on fait et contrôler sa vie. Pour avoir l’occasion de voir ma famille, je gère mon temps de façon très disciplinée. Si je pose une question, je ne veux pas un rapport, j’attends une réponse! Avec le fax, le cellulaire et la messagerie électronique, je travaille plus vite, et sans stress: j’ai compris que la touche «off» se trouve de mon côté.»

(Normand Tremblay, 60 heures/semaine, V.-P. ventes, interurbain, Bell Canada.)

La compétition mondiale force aussi les compagnies à sillonner le village global: selon American Express, le temps de voyage des hommes d’affaires nord-américains a augmenté de deux tiers depuis 1990. Au Canada, les voyages d’affaires en dehors de l’Amérique du Nord sont passé de 11,7% en 1984 à 16,6% en 1993, et les voyages interprovinciaux ont bondi de 19,2 millions en 1980 à 31,3 millions en 1992. On voyage davantage et plus vite: en 10 ans, les voyages d’affaires de plus d’une nuit ont diminué de moitié au Canada, mais les déplacements d’un jour ont plus que doublé.


Davantage de travail, de déplacements de compétition, d’insécurité et d’intensité, mais moins de gens. Le changement est devenu la norme, et la règle de survie est très simple: tenir ou partir.

Mort au champ d'honneur
«Dans 5 ans, ceux qui n’ont pas d’emploi seront dépressifs et ceux qui en ont un seront en burn-out!» s’exclame Nancy Turgeon, directrice de projets chez Massy-Forget Communications. Elle adore son travail mais sa vie est devenue «une course contre la montre depuis l’invention du fax !»

Elle ne croit pas si bien dire. Maintenant que les périls de la récession sont écartés, les top-managers découvrent avec effarement l’état des troupes: «catastrophique», laisse tomber Jean Gosselin, président de Pro-Act, une des firmes spécialisées en programmes d’aide aux employés (PAE). Comme ses confrères, il tire la sonnette d’alarme: «Les gens sont usés, tranche-t-il. Ils craquent les uns après les autres.»

La récession? 18 mois de folie furieuse, dit le docteur Sheldon Elman, président de Médisys. «Les top-managers ont remis à plus tard les régimes et les exercices. Et parmi eux, 20 à 25% sont tombés malades: ils somatisaient la crise. Obligés de rester à la barre, ils ne passaient qu’en coup de vent pour se soigner.» Leur niveau de satisfaction remonte depuis qu’ils maîtrisent à nouveau la situation, constate heureusement le médecin.

En 1992, un Canadien sur deux se disait plus stressé qu’en 1990. Une fois sur deux, à cause du travail. «Dans nos consultations, les états de stress directement attribués au travail sont passés de 5% à 15% en 3 ans, dit Jean Gosselin. Et les états de crise au travail (états agressifs, risque de suicide ou d’homicide, tensions anormales) font maintenant l’objet d’une consultation sur cinq.» Même bilan chez les Consultants Shepell, un autre bureau de PAE qui s’occupe de plus de 600 compagnies: «En quelques années, les cas d’épuisement ont augmenté de plus de 20%», dit Francine Clermont, directrice générale.

Varier le prisme:
«Imaginez deux enfants renversés par une vague. L’un part en pleurant et l’autre éclate de rire. Ma vie a changé quand j’ai compris que les événements nous stressent moins que l’évaluation qu’on en fait. Pour tenir le coup, je change souvent de prisme, dit ce père de trois enfants qui préfère le train à l’auto pour voyager entre Cartierville et le bureau et gagner ainsi une heure de lecture par jour. Apprendre me détend, autant qu’un week-end de ski en famille, qu’une réunion avec des amis ou que mon implication sociale. Je ne tiendrais jamais si je ne pouvais me reposer sur l’harmonie familiale, et sur les week-ends planifiés avec mon épouse.»

(Normand Toupin, 60 heures/semaine, directeur, relations avec les médias, Bell Canada.)

À tout moment par exemple, chez Labatt, on compte une quinzaine de cadres (sur 330) en burn-out, depuis les deux restructurations. Un problème si réel que la brasserie veut former ses cadres à la gestion du stress. Et pour le recrutement de personnel, «l’endurance et la capacité de réagir deviennent des facteurs déterminants», dit Gilles Dulude, vice-président aux ressources humaines. Lui-même, sans cesse à la recherche d’un équilibre entre ses 65 heures de travail et sa famille de quatre enfants, fait du squash quelques midis par semaine pour tenir le coup.


En 1993, une étude de Foster Higgins révélait que la moitié des absences de courte durée (entre un jour et un mois) était liée à des problèmes de santé mentale ou à des «problèmes personnels», sinon aux deux. À l’Industrielle Alliance, les congés de maladie de plus de six mois pour raison de dépressions et d’anxiété sont passés de 6,6% des cas en 1993 à 11,6% en 1994. La part des indemnités versées pour maladies mentales a grimpé de 10% en 1993 à 20% en 1994. La Great West confirme ces chiffres: chez elle, la part des troubles psychiatriques (au sens large) dans les invalidités de longue durée est passée de 11% en 1989 à 24% en 1993. Loin devant les accidents du travail (15%) ou les maux de dos (10%) qui étaient le fléau des années 1990.

«Quand vous n’êtes plus capable de travailler, la seule manière sociable admise de l’exprimer est de tomber malade», dit Claude Lapierre, vice-président, affaires médicales, chez Médisys. Rien d’étonnant à ce que les PAE, peu connus il y a cinq ans, se soient répandus comme une traînée de poudre dans les trois quarts des grosses organisations : les problèmes de santé mentale sont devenus la cause d’absence au travail et affectent directement les entreprises.

Plus fort ou trop fort?
«Le milieu de travail est devenu pathogène, dit Jean Gosselin en pesant ses mots. Si tant d’employés et de cadres sont au bord de l’épuisement professionnel, ce n’est pas qu’il sont plus faibles, c’est qu’on a exigé d’eux trop de changements en trop peu de temps. Aucun environnement n’exige autant de performance, jour après jour, que les entreprises aujourd’hui. Que penser du responsable des ressources humaines d’une grosse compagnie nationale qui veut organiser un séminaire de motivation, du genre be a winner, quelques mois après avoir mis 3 000 personnes à pied ? La première chose à faire est de panser les plaies morales !»

Le sport pour mieux créer:
«Depuis 20 ans, je me défonce dans le sport. Le midi, je refuse des dîners, pour retrouver mon énergie. Sinon, je me sens mal. Le monde du travail a du mal à décompresser. On culpabilise en lisant un rapport devant un bon foyer, comme s’il fallait un environnement banal pour travailler ! Nous valorisons l’intelligence, mais continuons d’évaluer les gens suivant le nombre d’heures au bureau. Si chacun se sentait un peu plus libre de son temps et de sa créativité, employés et cadres seraient beaucoup moins stressés!»

(Jean-François Duchaine,75 heures/semaine, PDG, Groupe Innovation.)

«On travaille «plus» fort qu’avant mais pas «trop fort», nuance Claude Lapierre de Médisys. On est loin ici du rythme des ateliers de couture des pays asiatiques ! «Ce qui est difficile, ce n’est pas tant le changement que l’incertitude», estime Alain Forget, de Price Waterhouse. Les cadres intermédiaires, particulièrement, ont vécu dans l’oeil du typhon: ils voyaient partir leurs collègues, devaient gérer les mises à pied sans être convaincus de leur utilité et mobiliser les survivants autour d’une vision sans voir où ils s’en allaient.


«En plus, dit Jean Gosselin, La famille et le travail connaissent en même temps des transformations majeures qui mettent les gens sous pression. Leur stress est tel que cadres et employés traînent les problèmes de travail à la maison, et les problèmes personnels au bureau. Quand nos clients viennent pour des problèmes familiaux, ils prennent conscience de leur épuisement professionnel. Ou l’inverse. Quand ça craque, ça craque partout !»

Où est l'oasis ?
Pour tenir, il faut trouver des plages où décompresser d’un coup : hobby, famille stable, amitiés, bref une oasis où changer d’air et retrouver l’estime de soi. Mais beaucoup n’ont pu construire ou préserver pareille oasis! «Les exigences sont telles que les gens ne prennent plus le temps de vivre en dehors du travail», constate André Arsenault, médecin et conseiller en relations industrielles. La job envahit tout: le sommeil est agité, on coupe les loisirs et on prend des dossiers avec soi le week-end. Tout se vide, on ne parvient plus à parler de rien d’autre que du travail, et le temps devient un long continuum sans changement. Très usant. «Certains vont s’enfermer dans un gymnase pour marcher sur un tapis roulant, dit-il. Quoi de plus absurde ? Si les gens pouvaient se trouver une heure pour marcher avec un ami ou faire un sport d’équipe, ils feraient non seulement de l’exercice, mais profiteraient aussi du support social des autres pour décompresser en nommant leurs émotions, leurs joies, leurs colères. Or cela disparaît.»

Pour tenir, il y a toujours les expédients. Selon le Food Technology’s Top Ten Trends les Nord-Américains se ruent sur les aliments diététiques, les fortifiants alimentaires comme les smart drinks, et les cocktails multivitaminés. Malgré les conseils de prudence, les Québécois en ont acheté pour plus de 20 millions de dollars en 1994. Au Canada, 39% des gens en prenaient en 1993, contre 31% en 1990 !

Alcool, tabac, café figurent, bien entendu, au menu du surmenage. «Et la drogue progresse plus qu’on ne le pense, dont la cocaïne - pour être plus productif, affirme Jean Gosselin. Mais c’est un sujet tabou en entreprise.» Et puis il y a les médicaments. Les anxiolytiques comme Buspar, les antidépresseurs comme le très célèbre Prozac (plus d’un milliard de ventes aux États-Unis en 1993), les béta-bloquants comme l’Indéral pour calmer la panique, du Ritalin pour stimuler le système nerveux central, etc. Difficile d’identifier les médicaments consommés dans le but avoué de produire davantage ou plus longtemps, «mais le phénomène n’échappe pas aux médecins», assure André Arsenault. Il faut tenir, quitte à craquer plus fort, mais plus tard.

Le mythe du performant
«Qui vous a demandé de vous brûler ainsi ?» Quand Jean Gosselin pose cette question à ses clients, ceux-ci restent interloqués: personne... «Les entreprises supprimeraient tous les patrons que le personnel travaillerait aussi fort, dit-il. Nous avons tellement intégré la culture de la performance, le souci de la perfection, que nous nous mettons nous-mêmes sous pression.»

Le travail est devenu pour beaucoup le lieu privilégié où acquérir l’estime de soi. Line Cardinal travaille au Centre de recherche en gestion de l’UQAM; dans son étude Les effets pervers de la mobilisation vers l’excellence, elle soutient qu’on demande à l’employé de mettre toute son énergie, y compris psychique, au service de l’entreprise et qu’à force de mobiliser jour après jour son intelligence, son imaginaire et ses émotions, on finit par le vider et le brûler complètement.

Pour mobiliser les employés, les théories actuelles du management conseillent de prendre soin de la qualité de vie au travail. Dans les faits, cela signifie qu’au nom de l’excellence, on demande toujours davantage à l’employé. «Si les employés se sentent importants pour leur entreprise, ils iront jusqu’à sacrifier leur vie pour elle», écrit Line Cardinal. Mais en même temps, prises dans le cyclone de la mondialisation, les entreprises ne peuvent plus rien promettre à long terme.

Les responsables du personnel commencent à voir que le double langage des entreprises (on s’occupe de vous/donnez-nous le maximum) ne tient pas la route. «Que gagne l’entreprise quand elle a brûlé son personnel ?» demande Jean Gosselin. Ce n’est sans doute pas un hasard si les deux séminaires les plus demandés chez Pro-Act, dit-il, concernent la gestion du stress, et Comment élever nos enfants pour qu’ils deviennent des performants sans perdre la boule ! «Guérir les symptômes de l’épuisement professionnel ne sert en effet à rien si on ne revoit pas les systèmes qui les provoquent, renchérit le docteur André Arsenault. Il va falloir que le rythme qu’on exige des travailleurs change. À moins qu’on les considère comme une ressource prête-à-jeter ?»

Savoir vivre
Tenir le coup demande une discipline de vie. Ceux qui réussissent contrôlent leur temps, ordonnent leurs tâches, changent souvent d’activités pour varier le niveau de stress, gardent le sens de l’humour, le goût d’apprendre et l’amour de leur métier. Ils ne laissent pas le travail envahir leur bulle de survie, cette oasis où ils récupèrent quelques heures. Quand elle tient, la famille semble le lieu idéal pour décompresser. Il y a aussi l’exercice. Le ministre Guy Chevrette pêche; Guy Saint-Pierre, PDG de SNC Lavalin jardine; Robert Fragman, président et fondateur d’Aventure électronique chasse, ou voyage avec son épouse... en visitant des magasins. Lionel Hurtubise, PDG d’Ericsson, file sur son voilier ou skie. Foglia, chroniqueur de La Presse, fait du vélo. Et vous?

Avec une petite centaine de sit-up quotidiens, vous pouvez raffermir vos abdominaux et améliorer votre maintien ainsi que votre endurance globale, affirme le psychologue sportif américain James Loehr. «Les patrons francophones sont deux fois moins portés à faire de l’exercice que leurs collèges anglophones», regrette Richard Blais, président de Nautilus Plus. L’engouement et le temps disponible pour l’exercice physique semblent avoir diminué. Ceux qui poursuivent sont surtout des professionnels célibataires de 20 à 49 ans.

Il y a aussi la méditation: «On va me prendre pour un extra-terrestre, mais ma source à moi, c’est de faire le plein de langage intérieur, dit Renaud Lapierre, associé directeur de Biron, Lapierre. Rien à voir avec des sectes ou l’ésotérisme: je ferme ma porte et je fais le vide en laissant circuler le mental sans l’arrêter, en lâchant prise. Je deviens plus disponible au moment présent, plus attentif à mes intuitions. J’ai une très belle vie depuis que je rejoins mon énergie intérieure!»

anonyme
le 04/06/2005 10:44
stop le cannabis
anonyme
le 07/06/2005 9:53
voici le pincipe meme de la combo: donner de la puissance a un ensemble de cartes, ki prisent séparémen ne valent pa gran chose. Je ne sui donc pa d'accord a 100% avec kerity. et félicitation a l'anonyme du 27/05/2005
anonyme
le 07/06/2005 20:40
Un vent de peste prend moins de place dans un jeu, a de meilleurs effets (il détruit également les créatures qui ne peuvent pas attaquer), a les mêmes autorisations en tournoi et demande autant de mana mais sans les trois couleurs différentes. Tellement plus simple...
paipoi
le 08/06/2005 15:05
lol le gars il raconte ca vie ... en + de la merde la combo 3 cartes , 3 couleurs ...
pjlepro
Arbitre et orga sur Rouen
Légende
le 09/12/2005 15:43
oui je sais que c'est de la merde mais ca m'a vallu des points alors je m'en fout
Babounet
le 09/03/2009 22:36
un deck rouge/blanc/noir en plus ? accroche toi pour gagner une partie avec un deck epave ...
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