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tu me parlais à moi ? '_'
fffuck j'comprends rien. Non parce que tu disais "te laisser faire du relativisme" juste derrière acwi, je suis pas intervenu depuis, heu, mon dernier message c'était quoi...oui, sur le fait qu'il faille regarder le fond, la vidéo, plutôt que les commentaires, le "ce qu'on en dit"...
Je suis honnête, je te lis, mais j'arrive pas à rattacher tout ça à ce que j'ai dit '_' Les "je" c'est de la parodie de moi ?, "je pousse 3 pions" c'est moi ?
Ca sonne comme "une correction qu'on va me mettre", mais y a des trucs avec lesquels je suis d'accord, des trucs je comprends même pas si c'est ce que je suis censé penser...
Citation :
Tu nous bassines qu'on a pas parlé une seconde de la Tchétchénie, de la Géorgie, du Yémen, du Myanmar... Mais mec, toi non plus ! Donc t'as pas le droit de l'ouvrir pour l'Ukraine
Ca c'était pour quand j'ai dis vous condamnez rien de l'OTAN et de la croisade américaine ? Mais, je parle de l'Ukraine parce que c'est le sujet, si on ouvre un topic sur l'Irak dans lequel vous soutiendrez mordicus l'axe atlantique, je l'ouvrirai aussi pour rappeler ce qu'il est.
Je te relis 3 fois, je sais pas, les Julien Martin nazis en France, ils ont pris le pouvoir ?
Pareil, moi j'ai dis que "c'est pas stimulant si on est tous d'accord" ?
moi a écrit :
"Je condamne ce qu'il se passe, ça me fait peur, le potentiel d'escalade rappelle les pires pages de notre Histoire, j'ai une pensée pour les Ukrainiens qui risquent de pâtir de nouvelles années de guerre civile, Poutine est flippant, et me fait flipper, pour rien au monde je voudrais être journaliste dissident en Russie, pour rien au monde je ne voudrais être homosexuel en Russie, je suis marqué par l'empoisonnement de Litvinenko et d'autres, jamais je ne voudrais d'un système communiste, tous les jours je préfère notre système même imparfait."
C'est fait. Maintenant, il peut se passer des pages et des pages où on se lamente tous pendant des posts à sens unique...ou...on peut se diviser entre "ceux qui se lamentent", "ceux qui font des bons mots", "ceux qui apportent des informations du front" et "ceux qui apportent des nuances à l'unique narratif". Et être de ce dernier n'empêche ni l'empathie, ni la conscience qu'il y a une autre réalité/vision de l'autre côté du miroir.
En somme, vivre en bonne intelligence, chacun réagissant selon son angle, les comiques, ceux qui ont mal au coeur, ceux qui apportent des news d'un côté, d'autre de l'autre.
Bref, on peut retourner ça dans tous les sens, ça ne te satisfera jamais tant que je n'aurai pas embrassé l'unique chose que tu attends de moi : dire que la Russie a tort de ne pas se laisser atlantiser comme nous tous parce qu'un gouvernement mondial est la seule chose qui pourra nous sortir de la crise énergétique mondiale.
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Article long de Bruno Guigue, mais putain j'en changerais pas une ligne.
Morceaux :
Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas. Lorsqu’ils ont déployé les tentacules de l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie, les dirigeants occidentaux n’ignoraient pas qu’ils jouaient avec le feu. Ils savaient pertinemment qu’ils se comportaient en apprentis-sorciers, prenant le risque d’un embrasement dont le peuple ukrainien serait la première victime et l’Europe tout entière paierait les pots cassés.
Lors de la conférence sur la sécurité en Europe, en mars 2007, Vladimir Poutine demandait déjà aux Occidentaux :
« L’OTAN a placé ses forces de première ligne à nos frontières ! Contre qui cette expansion est-elle tournée ? Et qu’est-il advenu des assurances données par nos partenaires occidentaux après la dissolution du pacte de Varsovie ? »
Un silence glacial accueillit ces propos de bon sens, et l’OTAN a poursuivi aveuglément son Drang nach Osten (poussée vers l’Est). Il en fallait sans doute davantage pour lui faire entendre raison. Continuation de la politique par d’autres moyens, la guerre se chargerait bientôt d’assigner des limites à cette expansion mortifère.
Les Russes, pourtant, ne sont pas les les seuls à avoir mis en garde les pays membres de l’Alliance atlantique. De hauts responsables du « monde libre » les avaient aussi prévenus contre le danger de l’ultime transgression, celle qui ferait tout basculer : après l’extension inconsidérée de l’Alliance atlantique à la plupart des pays de l’Est européen, l’absorption de l’Ukraine serait l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres. En transformant ce pays-frère de la Russie en bastion avancé de l’OTAN, elle achèverait l’encerclement périlleux du territoire russe. Elle mettrait ses grandes agglomérations urbaines à quelques minutes d’un tir de missile. Elle transformerait la Mer Noire en piscine d’exercice pour l’US Navy. Ne pouvant reculer davantage, dos au mur, Moscou ne resterait pas sans réagir. Ce serait la guerre. Inévitable.
Ce pronostic réaliste, quelques sommités du « monde libre », peu suspectes de constituer une cinquième colonne pro-russe, l’avaient formulé depuis belle lurette. Ex-ambassadeur des États-Unis en Union soviétique, Jack F. Matlock Jr. déclare en 1997 que l’expansion de l’OTAN est « une profonde bévue stratégique, encourageant une chaîne d’événements qui pourrait produire la menace la plus grave pour la sécurité depuis l’effondrement de l’Union soviétique ». Stratège célébrissime de la guerre froide, George Kennan considère en 1998 que l’expansion de l’OTAN est une « erreur tragique » qui provoquera une « mauvaise réaction de la Russie ». Ex-directeur de la CIA, William Burns affirme en 2008 que « l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN est la plus brillante de toutes les lignes rouges ». Secrétaire à la Défense de Bill Clinton, William Perry explique dans ses Mémoires que l’élargissement de l’OTAN est la cause de « la rupture des relations avec la Russie ».
(quel HASARD, quelle conséquence INATTENDUE tout ce qu'il se passe, quelle conséquence IMPREVISIBLE que la pénurie alimentaire orchestr,heu)
Avec le coup d’État qui chasse du pouvoir le président Viktor Ianoukovitch en février 2014, la situation s’envenime. Lors du sommet de Bucarest, en 2008, George W. Bush avait proposé à l’Ukraine d’entrer dans l’OTAN. La prise du pouvoir par une junte pro-occidentale ouvre la voie à l’adhésion, dont le principe est inscrit dans la nouvelle Constitution ukrainienne par les autorités de Kiev.
Raison de plus, pour Henry Kissinger, de tirer la sonnette d’alarme : l’ex-secrétaire d’État affirme sans ambages que « l’Ukraine ne devrait pas rejoindre l’OTAN ». Robert Gates, ex-secrétaire à la Défense, écrit dans ses Mémoires qu’« agir si vite pour étendre l’OTAN est une erreur. Essayer d’amener la Géorgie et l’Ukraine dans l’OTAN est vraiment exagéré et constitue une provocation particulièrement monumentale ». Un point de vue partagé par Noam Chomsky en 2015 : « L’idée que l’Ukraine puisse rejoindre une alliance militaire occidentale serait tout à fait inacceptable pour tout dirigeant russe », et ce désir d’adhérer à l’OTAN « ne protégerait pas l’Ukraine, mais la menacerait d’une guerre majeure ». Sombre prédiction qui rejoint celle de Roderic Lyne, ex-ambassadeur britannique en Russie, qui déclare en 2021 que « pousser l’Ukraine dans l’OTAN est stupide à tous les niveaux ». Et il ajoutait : « Si vous voulez déclencher une guerre avec la Russie, c’est la meilleure façon de le faire ».
Aujourd’hui, c’est chose faite. La guerre est là, et l’OTAN en porte l’écrasante responsabilité. Occultant ces nombreux avertissements, la doxa occidentale s’empresse évidemment de blanchir l’Alliance atlantique. « L’OTAN ne menace pas la Russie », lit-on chez de faux naïfs qui nous feraient prendre des vessies pour des lanternes. Le seul coupable, paraît-il, c’est le président russe Vladimir Poutine. Assoiffé de pouvoir, l’autocrate du Kremlin serait prêt à tout pour plier ses voisins à la loi du plus fort et conquérir de nouveaux territoires. Doublement nostalgique de l’URSS et de l’empire des Tsars, il serait en proie à une démesure qui le prédisposerait aux agissements les plus criminels. On lui prête même une paranoïa dont la fiction permet d’oblitérer les véritables causes du conflit, comme si la psychiatrisation de l’adversaire ne faisait pas partie de ces grosses ficelles dont toute propagande est coutumière. Heureusement, cette hystérie est à double tranchant. Car ceux qui dépeignent Poutine sous les traits d’un fou dangereux tirent un but contre leur propre camp. En prêtant au conflit actuel une causalité diabolique, ils s’interdisent de comprendre la situation et entretiennent l’impuissance occidentale.
Terrifiant les populations de l’Ouest abreuvées du matin au soir par cette histoire de croquemitaine, la légende de Poutine-le fou-furieux sape la crédibilité des va-t-en-guerre qui rêvent d’une zone d’exclusion aérienne ou veulent affronter l’armée russe sur le terrain. Qui a envie de se battre contre les Russes qui désarment l’Ukraine et règlent leur compte aux nazillons ? Si le tyran moscovite a le doigt sur le bouton nucléaire, les héros en puissance qui peuplent les plateaux télé du « monde libre » ne risquent pas de passer à l’acte. Allez-y sans moi ! Inutile, d’ailleurs, de brandir la menace atomique. Pratiquant l’inversion accusatoire dont il est coutumier, l’Occident pousse des cris d’orfraie lorsque la Russie met en alerte son dispositif de dissuasion nucléaire. L’OTAN ayant un budget militaire qui fait seize fois celui de la Russie et ses missiles étant installés aux frontières russes, on peut quand même se demander si ce n’est pas une sage précaution.
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L’OTAN n’est pas une association philanthropique, mais une alliance militaire, une machine de guerre dotée de moyens colossaux. C’est aussi un dispositif de vassalisation qui soumet les États-membres, sous couvert d’assurer leur sécurité, à l’hégémonisme des États-Unis. Lorsqu’elle a été fondée, en 1949, c’était officiellement pour défendre le prétendu monde libre contre la menace soviétique. Elle aurait donc dû disparaître en même temps que le Pacte de Varsovie, créé en 1955, qui a rendu l’âme en 1990. Non seulement l’OTAN n’a pas disparu, mais elle s’est renforcée et étendue à l’Est de l’Europe en violation des engagements pris. Au lieu de tourner la page de la guerre froide, l’OTAN a tout fait pour encercler et menacer la Russie, qui a remplacé l’URSS dans l’imaginaire belliciste occidental. Enfin, elle s’est livrée à des agressions militaires illégales, sans aucun mandat de l’ONU, qui ont pulvérisé les fondements de la sécurité collective en Europe et dans le monde.
Le moment-clé de cette mutation est l’agression contre la Serbie, en 1995 et 1999, qui a réintroduit la guerre en Europe et constitué le banc d’essai de la nouvelle stratégie de l’OTAN dans la période post-soviétique. Une agression qui avait deux caractéristiques : elle eut lieu hors du territoire de l’OTAN et elle a visé un État n’ayant jamais menacé un État-membre de l’Alliance. Au prix de 78 jours de bombardements et de 3 500 victimes civiles, cette double transgression a transformé l’OTAN en alliance offensive dont le champ d’intervention n’a plus de limite géographique. Désormais, l’OTAN frappe qui elle veut quand elle veut. En décembre 2001, elle intervient en Afghanistan sans aucun mandat de l’ONU. En 2003, les États-Unis et le Royaume-Uni, pays membres de l’OTAN, envahissent et dévastent l’Irak en violation flagrante du droit international. En mars 2011, l’OTAN outre-passe le mandat de l’ONU et détruit l’État libyen. À la même époque, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Turquie arment les mercenaires takfiristes en Syrie et soumettent l’État syrien légitime à des sanctions mortifères.
(...)
Le bon côté des choses, c’est que l’emphase délirante des condamnations occidentales est inversement proportionnelle à leur action militaire contre la Russie. Chaque fois que Washington, Londres ou Paris ouvrent la bouche pour vilipender Moscou, c’est pour ajouter aussitôt qu’ils n’enverront aucun soldat mourir pour Kiev. Tant mieux. La guerre sera plus courte et moins meurtrière. Les négociations vont reprendre. La neutralisation de l’Ukraine, qui est la seule issue rationnelle à ce conflit, aura quelque chance de voir le jour. C’est du moins ce qu’il faut espérer, dans l’intérêt de la Russie, de l’Ukraine et de la paix mondiale. S’il est sain d’esprit, aucun Européen n’a envie de se faire trouer la peau pour l’Ukraine, et encore moins de risquer l’escalade nucléaire. Si la Russie conduit cette opération militaire, à l’inverse, c’est parce que ses enjeux sont vitaux pour la nation russe. La question n’est donc pas de savoir si la guerre est moralement condamnable, car elle l’est toujours, en tout temps et en tout lieu. Noam Chomsky dit à la fois qu’il condamne catégoriquement l’intervention russe, et qu’elle était absolument inévitable compte tenu des provocations de l’OTAN. Mais si la seconde proposition est vraie (elle l’est), on se demande alors quel est le sens de la première. La vraie question, c’est de comprendre pourquoi les Russes font la guerre, et pourquoi les Occidentaux la font faire par les Ukrainiens. Et la réponse est que les Russes veulent obtenir par la force les garanties de sécurité qu’on leur a refusées, tandis que les Occidentaux s’acharnent surtout à affaiblir la Russie aux dépens des Ukrainiens.
Ces derniers finiront-ils par comprendre qu’ils sont les dindons de la farce ? Volodymyr Zelensky a fait toute sa carrière dans la comédie, mais son destin est en train de virer au tragique. Il multiplie désespérément les appels au secours, il s’agite devant les caméras, mais c’est en pure perte : en guise de réponse on lui envoie du matériel dont le seul effet sera de prolonger un conflit perdu d’avance. Il dit que si l’OTAN ne vole pas à son secours ce sera « la Troisième Guerre mondiale » alors que c’est exactement l’inverse : si les Occidentaux se contentent de prodiguer de bonnes paroles accompagnées de livraisons d’armes, c’est précisément pour éviter le choc frontal avec la Russie. Quant aux pacifistes du dimanche qui brandissent le drapeau d’un régime dont l’OTAN tire les ficelles, ils ont autant d’influence sur le cours des choses que des sanctions dont le résultat est l’augmentation de la facture gazière. En réalité, la principale erreur des Européens est de refuser de voir que cette guerre est la leur mais qu’il leur est impossible d’y participer. On ne combat pas des chars et des missiles avec des jérémiades et des subventions, et si l’Europe ne franchit pas le cap de l’intervention militaire, c’est tout simplement parce que la Russie le lui interdit. Washington, de son côté, sait aussi que le jeu n’en vaut pas la chandelle et n’en fera pas des tonnes pour sauver le régime de Kiev.
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Mais après tout la misère humaine n’a aucune importance à leurs yeux. Il suffira d’imputer à Poutine ce surcroît de malheur infligé aux populations civiles, et le gain symbolique sera capté par les moralisateurs occidentaux. La guerre tout court se double comme d’habitude d’une guerre informationnelle. On sait que le Donbass était bombardé sans répit depuis huit ans, que le gouvernement de Kiev refusait d’appliquer les accords de Minsk et qu’une offensive de grande ampleur se préparait contre les républiques séparatistes de Donetsk et Lougansk. Mais pour la doxa dominante peu importe la chaîne des causalités : par son ampleur, l’intervention militaire du 24 février permet à la narration occidentale d’attribuer le rôle de l’agresseur à la Russie. Et elle offre à Washington l’opportunité de resserrer les rangs atlantistes en franchissant une étape supplémentaire dans la diabolisation de l’ogre moscovite.
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La tâche sera d’autant plus rude pour les adversaires de Moscou qu’ils comptaient sur un isolement de la Russie qui a largement fait chou blanc. Les médias occidentaux ont clamé un peu précipitamment que « le monde entier est contre la Russie » et qu’elle est « complètement isolée sur la scène internationale ». La réalité est moins enthousiasmante pour la coalition antirusse. Au Conseil de sécurité de l’ONU, la Chine et l’Inde, qui représentent 40 % de la population mondiale, se sont abstenues. À l’Assemblée générale de l’ONU, les pays qui n’ont pas voté pour la résolution condamnant l’intervention russe représentent 59 % de la population mondiale.
Lorsque les Occidentaux prennent des sanctions contre la Russie, ils se retrouvent seuls avec le Japon, et les pays qui refusent de le faire représentent 83 % de la population mondiale. Loin d’être isolée sur la scène internationale, la Russie bénéficie de l’abstention d’une large majorité de l’humanité. La Chine, l’Inde, le Pakistan, le Brésil, le Venezuela, le Mexique, l’Algérie, l’Afrique du Sud et beaucoup d’autres pays refusent de diaboliser Moscou pour son action militaire contre un vassal de l’OTAN.
Au fond, la Russie dont rêvaient les Occidentaux, c’était celle de Boris Eltsine : impuissante et ruinée, dirigée par un alcoolique manipulable à loisir, c’était une proie facile pour les prédateurs étrangers et les conseillers en démocratie pour rire.
Si seulement les Russes s’étaient laissé encercler gentiment et avaient consenti à cette cuisson du homard, s’ils avaient accepté de subir sans broncher les bombardements du Donbass une décennie de plus, s’ils s’étaient résignés à voir l’Ukraine otanisée et la Mer Noire transformée en mare nostrum par les Yankees, on n’en serait pas là. Mais les peuples ont rarement le tempérament suicidaire, du moins ceux qui n’ont pas renoncé à leur souveraineté et accepté de servir de supplétif à l’Oncle Sam. (pwopwopwoooo) Le pays qui a vaincu les Tatars, Napoléon et Hitler ne sera pas une proie facile. Coriace et obstinée, la Russie ne se résigne pas à disparaître. Elle a choisi l’épreuve de force parce que l’OTAN l’a poussée dans ses retranchements. Mais le paradoxe est que si jamais elle réussit à neutraliser son vassal ukrainien, elle donnera une leçon de sagesse à l’Occident qui voulait la soumettre.