Rôôlala ce discours...°_o
A la bonne heure, des lycéennes légèrement vêtues, de la bonne chaire tendue au regard, ça fait de super persistances rétiniennes pour s'taper des queues le soir, ça forge les réflexions sur l'insoutenable beauté de la femme, sur les tenants et aboutissants du désir et de la drague, la frustration crée de chouettes personnalités complexes, forge des âmes d'artiste, ô cette beauté diaphane et inatteignable de jeunes camarades de classe, ô cette fille du premier rang dont on devine les bretelles de soutif par transparence, ô cette volupté des cuisses dépassants de la mini-jupe, ô ce boobs surgonflé par cette vue de côté...toute cette sexualité qui ne dit pas son nom et qui forge le bouillonnement intérieur, cette gaule à craquer la braguette au moment où, ô malheur, la sonnerie de fin de cours retentit, ces branlettes sous les draps en imaginant les fesses cambrées de Sabrina, cette quête de la baise et cette quête parallèle de la magnification du désir inassouvi.
Cette transcendance de la frustration pour se comprendre soi-même.
Et vous voulez cacher tout ça pour ne pas avoir à vous contrôler ?
Damnés soit les humains dépourvus de monde intérieur.
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