Bonjour, j'aimerais savoir à partir de quel moment il y a alliance entre deux joueurs et que ce comportement est donc sanctionnable.

Par exemple si je subis une attaque d'un adversaire que je n'avais jamais vu 2 min après avoir réattaqué un joueur, est ce une coïncidence ou un 2vs1? (Je précise que le nouvel adversaire avait plus intéret à attaquer d'autres joueurs que moi car je j'avais pas mal de défense et il a du envoyer beaucoup d'elites et donc se rendre plus vulnérable qu'avec ses cibles habituelles)

Quels sont donc les critères objectifs qui seront retenus pour sanctionner une alliance?

alala un récidiviste ^^

question maintes et maintes fois posée, je pense qu'on a la réponse depuis un petit bout de temps déjà

Non la sa question porte a apporté une réponse neuve :)

Quels sont donc les critères objectifs qui seront retenus pour sanctionner une alliance?

Le fait q'ils soient de la même guilde (à présent ce sont les 3 plus puissants de la guilde qui m'attaquent) qu'ils attaquent de manière coordonnée par exemple peuvent ils être des critères objectifs?

Ce qui m'intéresse est plus large que mon cas personnel, il faut que la rêgle soit la même pour tous.

En l'absence de critères objectifs définis AVANT le début de la saison, une rêgle aussi floue ne pourra s'appliquer que de manières partiale et arbitraire.

J'ai vérifié les attaques que tu as recu, il n'y a aucune trace de coordination entre elles. Le fait que ton Royaume soit un des plus faibles du Top 15 explique probablement leurs choix.

Très bien je te fais confiance mais ce n'était qu'à titre d'exemple que je prenais mon royaume.

Quels sont les critères qui te permettent de décider qu' il y a alliance, coordination ou non?

Je ne peux que utiliser des évidences liées au jeu (je ne lis pas les messages privés), par exemple un Royaume A qui fait une vague de Terreurs ou de Boules de Feu juste avant qu'un Royaume B n'attaque. Deux attaques recues à plusieurs heures d'intervalles, l'une étant une représaille, ca ne constitue pas une preuve tangible. Et dans le doute je ne fais évidemment rien. Je suis conscient que tout ceci soit obscur, mais les situations doivent plutôt être traitées au cas par cas si doute il y a.